« Escuela Politécnica Nacional » fait avancer le réseau intelligent en Equateur

Actuellement, l'Escuela Politécnica Nacional (EPN) de Quito se consacre aux réseaux intelligents et a installé un laboratoire de Lucas-Nülle. L'université publique vient d'être élue par le magazine de formation « Times Higher Education » comme l'une des meilleures d'Amérique du Sud.

Lucas-Nülle est une composante de l'offensive de recherche

Tandis que les premiers pas vers la réalisation de réseaux électriques intelligents sont entrepris en Europe et en Amérique du Nord, ce thème attire de plus en plus l'attention en Amérique du Sud. En Equateur, l'EPN à Quito est le fer de lance de cette évolution. Pour permettre une étude pratique de ce sujet, l'université publique a opté pour un laboratoire de Lucas-Nülle.

« Les systèmes d'apprentissage nous permettent d'effectuer des tests et des simulations dans des réseaux intelligents, explique Marcelo Pozo, professeur à l'EPN et directeur du nouveau laboratoire, au quotidien "El Telégrafo". L'idée est de tester le réseau pour anticiper les problèmes à venir et en même temps trouver des solutions. » Le laboratoire comprend entre autres des systèmes d'apprentissage sur la production d'énergie, la transmission et la consommation de l'énergie ainsi que la cybersécurité. « L'utilisation efficace de sources d'énergie alternatives, explique M. Pozo, donc de centrales hydroélectriques, de l'énergie éolienne et de la photovoltaïque, est au cœur de nos préoccupations. »

Un partenariat fructueux

Lucas-Nülle a accompagné le projet dans toutes ses phases, en commençant par la planification du laboratoire en 3D – avec l'objectif de profiter au mieux de l'espace – jusqu'à la formation des professeurs et des étudiants en espagnol sur place, proposée par les entraîneurs LN Marcella Isaza et Fabian Schwarz. « Les participants étaient très engagés et ont pu commander rapidement les systèmes », explique la Colombienne Marcela Isaza. A l'avenir, les étudiants à Quito seront parfaitement préparés aux défis des réseaux intelligents. « Bien évidemment, nous restons disponibles pour toute question », souligne Mme Isaza.

En plus du professeur Marcelo Pozo, les étudiants étaient également convaincus par les nouveaux appareils : « J'aurais aimé disposer de tels systèmes d'apprentissage plus tôt pendant mes études, explique Andrés Ayala également au quotidien El Telégrafo. J'aurais gagné beaucoup de temps. »

Une université publique au niveau international

En juillet 2017, l'université publique a fait parler d'elle au-delà des frontières de l'Equateur, lorsqu'elle a été notée comme l'une des meilleures d'Amérique du Sud par le célèbre « Times Higher Education Ranking ». Les journalistes ont apprécié notamment l'activité intense des professeurs et des étudiants dans la recherche.

 

 

 
 

 

 

- 03.05.2018